Marc A. DECAUDIN

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Marc A. DECAUDIN

Marc A. DECAUDIN, né le 24 décembre 1960 à Antony (Hauts-de-Seine - 92) France. Je vis actuellement à Savigny-sur-Orge (Essonne - 91).

Après avoir obtenu mon diplôme de dessinateur industriel en mai 1978, je suis reçu au concours de dessinateur. Le 18 juillet 1978, je commence une carrière aux PTT qui s’achèvera 26 ans plus tard à France Télécom par ma demande de mise à la retraite.

Retraité depuis le 24 décembre 2004, je me consacre aujourd’hui essentiellement à l’écriture.

Membre de l’Association Pour le Scénario (APS), j’ai commencé à écrire en 1980 en participant – pour le Prix Atlantique de la Fondation Philip Morris pour le cinéma – à un concours de scénario avec un co-auteur, Jean-Jacques Studer. Avec deux autres participants, notre scénario intitulé Nuit brève, a été présélectionné , mais cette année-là, le prix n’a pas été décerné.

En 1984, toujours en collaboration avec Jean-Jacques Studer, j’ai participé à un concours de roman policier pour les Éditions des Champs-Élysées (collection Le Masque), en présentant un roman à énigme intitulé : Meurtre au quatrième étage. La même année nous nous sommes attelés à écrire et à réaliser un court métrage en 16 mm que j’ai entièrement produit, intitulé : Étoile.

En 1987, après une tentative infructueuse d’écriture d’un spectacle, nous avons cessé notre collaboration.

En 1995, je décide d’entreprendre mon premier roman à partir du scénario éponyme : Nuit brève. Il sera le premier volet d’une trilogie intitulée : Stender Trilogie. Le second volet, Meurtre au quatrième étage que j’ai réécrit seul en 1998 à partir du roman de 1984, reprend les deux personnages principaux de Nuit brève alors qu’ils sont adolescents. Cette année-là j’écris également ma première nouvelle, Le dernier réveil.

En 1996, j’écris une nouvelle basée sur le scénario de mon court-métrage, Étoile dont je conserve le titre. Je me lance ensuite dans la rédaction de mon second roman qui cette fois-ci sera un roman policier : Dernière neige, en créant le personnage d’un inspecteur de la police judiciaire quelque peu atypique : Dominique Santoni. La même année je termine la trilogie Stender avec le troisième opus : À l’aube tu renaîtras… et je rédige cinq nouvelles : Interview, Point de vue, Jeunesse fanée, L’idole déjeune et Le cardinal, nouvelle policière où je reprends le personnage de l’inspecteur Santoni.

En 1997, je cherche une nouvelle idée de roman et je commence Asphalte qui ne verra pas le jour. Je me tourne alors vers mon inspecteur de police qui, à la suite de Dernière neige, se retrouve promu commissaire et je lui écris cette autre nouvelle : Le sourire angélique des morts. Je me cherche ensuite dans un autre style et avec le pseudonyme de Sylvie Leroi, je commence un roman : Horresco referens que je considère, comme les précédents, pas suffisamment abouti pour le proposer à un éditeur.

1998. Seule la réécriture de Meurtre au quatrième étage et la Coupe du Monde de Football organisée en France occuperont cette année.

En 1999, je ne me sens pas capable d’entamer un nouveau roman alors j’écris huit nouvelles : Imprime la légende, Félicitation inspecteur ! (nouvelle policière avec le commissaire Santoni), Projet KEO (nouvelle de science-fiction), Journal d’un misogyne, Noël d’un autre temps, À quoi servent les rêves ?, Un coup de génie et Rêve étrange que je que je mettrai plus tard au pluriel pour en faire le titre d’un recueil.

En 2000, j’ai envie de m’essayer au théâtre et je propose à mon ami Jean-Jacques Studer de se lancer avec moi dans cette aventure et nous écrivons C’est la vie que nous proposons à Philippe Hersen. Après un avis favorable, il nous demande de retoucher la pièce qui devient : Au boulot et que ça saute !. Parallèlement, faute de temps, je n’écris qu’une seule nouvelle pendant une hospitalisation d’une semaine : Il a fallu que ça tombe sur moi !

En 2001, après avoir lu Assassins, Criminels et Sainte Bob, trois romans de Philippe Djian, je décide d’adapter pour le théâtre un passage du roman Assassins et j’en fais une pièce dont je conserve le titre. Trois autres nouvelles voient le jour en 2001, J’ai un secret, C'est mon premier et Dans la nuit de samedi à dimanche. J’écris un sketch : Rue Bosso puis un roman à la première personne que j’intitule : Pourquoi moi ? dont le personnage principal ne porte pas de prénom et n’est jamais nommé.

En 2002, je commence la rédaction d’un roman que j’intitule : Négative attitude. Au fil des années ce titre sera celui d’une duologie puis d’une trilogie. Négative attitude se transforme en Une main tendue et devient le quatrième volet d’une aventure qui raconte la vie d’une femme alcoolique et névrosée dont, avec Maman à seize ans (2008), nous découvrirons les prémisses à son adolescence. Cette même année je commence le second volet : Le carnet de cuir noir et j’écris pendant mes vacances d’été une pièce de boulevard intitulée : Anita. Après réflexions, je développe une idée née en 1999 pour un roman que finalement je n’écrirais qu’en 2012 : Le calendrier de l’avent.

En 2003, je commence la rédaction d’une nouvelle pièce de théâtre : Échange standard. J’en fais part à Eric Delcourt mais finalement je ne poursuis pas.

En 2004, je me jette sur une autre idée de pièce de théâtre : La crémaillère mais peu après je renonce. À la fin de l’année je prends ma retraite et je décide de renouer avec l’écriture de romans.

En 2005 et 2006, je passe beaucoup de temps sur la structure de ma trilogie dont un quatrième volet vient se rajouter.

En 2007, je passe à la rédaction définitive de Une main tendue et j’écris deux nouvelles : Une femme du bout du monde et Un ange passe.

En 2008, au printemps je m’exile trois mois en province et parallèlement à la rédaction de six nouvelles : L'apprentissage de la solitude, Fêtes des mères, La femme de ma vie, Agatha et moi, Un couple uni et Coup de foudre, j’écris Maman à seize ans, le premier roman de ma tétralogie et je commence Femme de la nuit, le troisième volet.

En 2009, après une accumulation d’échecs, j’évoque la possibilité d’arrêter définitivement l’écriture. Je n’arrive pas à placer mes pièces de théâtre et je ne sens pas mon écriture suffisamment expérimentée pour la proposer à des éditeurs.

En 2010, je décide de tout reprendre à zéro. Je corrige chacune de mes nouvelles puis je commence à faire de même avec mes romans. Je n’écris que deux nouvelles : Billet d'humeur et Idylle intellectuelle.

L’été 2011, je fuis une nouvelle fois la capitale pour les faubourgs de Nîmes où – contre toute attente – je commence l’écriture d’un roman que je n’avais pas prévu d’entreprendre à cette période de l’année, dans lequel on retrouve l’inspecteur Santoni en invité surprise.

Plutôt satisfait de mon travail, dès le début de l’année 2012 je me sens le courage de le proposer à des éditeurs. Après de nombreux refus, trois éditeurs dont les Éditions Persée, me proposeront de publier ce roman intitulé : L’héritière des Ruinard de Beaumont. Je commence alors l’écriture de mon projet datant de 2002 : Le calendrier de l’avent.

Le calendrier de l’avent, préquelle qui se déroule en 1975, raconte l’histoire des ascendants de Norma, personnage principal du roman L’héritière des Ruinard de Beaumont.

Projet de l’hiver 2013, l’écriture d’un roman d’aventure intitulé Dalton Highway qui met en scène d’intrépides routiers américains sur les routes gelées de Alaska.

De 1999 à aujourd’hui j’ai également écrit quelques textes de chansons qui, en dehors de deux ou trois, ne valent pas la peine d’être citées.

En littérature, mes auteurs préférés sont : John Steinbeck, Paul Auster, Philippe Djian, Pierre Magnan, Agatha Christie et Georges Simenon, mais aussi Henry Miller, John Fante, Michael Connelly, Douglas Preston & Lincoln Child, Harlan Coben et Michel Crichton, Elizabeth Georges, Minette Walters, Gaston Leroux, Robertson Davies, Patricia Cornwell et Jean-Christophe Grangé.